Tony FERRET
Architecte du Département de l'Ain à la Belle Epoque
En l’espace de trois décennies (1880-1914), l’architecte Tony Ferret (1851-1923) imprime son caractère à des dizaines de constructions publiques – civiles et religieuses – signant près d’une quarantaine d’écoles et de nombreuses églises tout en associant son nom aux grands équipements qui métamorphosent la ville de Bourg à la fin du XIXe siècle. Écoles, mairies et églises, théâtre et salle des fêtes, hôpitaux et maternité, usines, châteaux, immeubles et villas, monuments publics, nul architecte n’a marqué de son empreinte la cité burgienne et le département de l’Ain à l’époque contemporaine comme Ferret. Publié à l’occasion du centenaire de la mort de l’architecte, cet ouvrage aborde certains aspects méconnus de son travail parmi lesquels la question des arts décoratifs appliqués à l’architecture – à la faveur de sa collaboration avec la société Perrusson-Desfontaines – son oeuvre d’architecte-restaurateur et son rayonnement à l’échelle régionale.
En l’espace de trois décennies (1880-1914), l’architecte Tony Ferret (1851-1923) imprime son caractère à des dizaines de constructions publiques – civiles et religieuses – signant près d’une quarantaine d’écoles et de nombreuses églises tout en associant son nom aux grands équipements qui métamorphosent la ville de Bourg à la fin du XIXe siècle. Écoles, mairies et églises, théâtre et salle des fêtes, hôpitaux et maternité, usines, châteaux, immeubles et villas, monuments publics, nul architecte n’a marqué de son empreinte la cité burgienne et le département de l’Ain à l’époque contemporaine comme Ferret. Publié à l’occasion du centenaire de la mort de l’architecte, cet ouvrage aborde certains aspects méconnus de son travail parmi lesquels la question des arts décoratifs appliqués à l’architecture – à la faveur de sa collaboration avec la société Perrusson-Desfontaines – son oeuvre d’architecte-restaurateur et son rayonnement à l’échelle régionale.